À chaque rentrée, l'académie doit donc composer avec les effectifs d'instituteurs qu'elle peut mobiliser. Et donc supprimer des classes pour en créer là où il y en a besoin. Un discours qui ne passe pas du tout chez les parents d'élèves et les syndicats. « Il y a les paroles d'un côté et les moyens de l'autre. On se plaint que les enfants arrivent au collège avec un niveau scolaire insuffisant, mais comment voulez-vous qu'ils progressent dans des classes de 30 élèves où il y a quatre niveaux enseignés ? », s'emporte Séverine Dumont.